Texte pour le 17 juillet 2011

Notre capacité vient de Dieu. — 2 Cor. 3:5.

Tout don que nous possédons est une expression de la “ faveur imméritée ” de Jéhovah (Rom. 12:3). C’est pourquoi il n’y a pas lieu de se glorifier. Nous devrions reconnaître humblement que les bons résultats que nous obtenons sont dus à la bénédiction de Dieu, et non à nos capacités personnelles (1 Cor. 3:6, 7). C’est dans cet esprit que Paul recommande “ à chacun d’entre [n]ous de ne pas penser de lui-même plus qu’il ne faut penser ”. Il est normal d’avoir de l’estime de soi et de se réjouir de ce qu’on fait dans le ministère. Cela dit, quelqu’un qui est modeste, c’est-à-dire qui reconnaît ses limites, se garde d’être trop sûr de lui. Il faut une humilité authentique et un effort de l’esprit pour admettre que chacun de nos frères et sœurs nous surpasse dans un domaine ou un autre (Phil. 2:3). Même si des attributions particulières placent certains sous les projecteurs, nous puisons tous une joie profonde à effectuer “ ce qui est humble ”, c’est-à-dire à exécuter des tâches qui passent souvent inaperçues aux yeux des autres. — Rom. 12:16 ; 1 Pierre 5:5.

w09 15/10 1:7, 8.

Dans le principe, ce verset nous montre que, de façon appropriée, Jéhovah qualifie les chrétiens pour le ministère au moyen de sa Parole, de son esprit saint et de la partie terrestre de son organisation (Jean 16:7 ; 2 Tim. 3:16, 17). Continuons à étudier sérieusement la Bible et les publications bibliques, à prier avec persistance pour obtenir l’esprit saint, ainsi qu’à assister et à participer régulièrement aux réunions chrétiennes. — Ps. 1:1-3 ; Luc 11:10-13 ; Héb. 10:24, 25.

E.D. Abiya votre serviteur