Texte pour le 31 octobre 2011
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Texte pour le 31 octobre 2011
Tu dois aimer ton prochain comme toi-même. — Mat. 22:39.
L’amour dont parlait Jésus (agapê en grec) est un amour raisonné qui est guidé par le devoir, les principes et la convenance ; cependant, il peut être chaleureux et intense (1 Pierre 1:22). Il se manifeste par des paroles bienfaisantes et des actes désintéressés (1 Cor. 13:4-7). Résultant de l’action de l’esprit saint, il permet aux vrais chrétiens de réussir là où d’autres échouent, par exemple de transcender les barrières raciales, culturelles ou politiques (Jean 13:34, 35 ; Gal. 5:22). Les personnes sincères ne peuvent rester insensibles à ces manifestations d’amour. Citons le cas de ce jeune Juif qui vit en Israël. La première fois qu’il est venu à l’une de nos réunions, il n’en revenait pas de voir Juifs et Arabes adorer ensemble Jéhovah. Cela l’a incité à assister aux réunions et à étudier la Bible. De nouveau, analysons notre propre attitude : ‘ Est-ce que je manifeste un amour sincère à mes frères ? Est-ce que je me fais un devoir d’accueillir chaleureusement ceux qui viennent à la Salle du Royaume pour la première fois, quels que soient leur nationalité, la couleur de leur peau ou leur rang social ? ’ w10 15/1 3:18, 19.
martine- Messages : 218
Date d'inscription : 25/03/2011
Re: Texte pour le 31 octobre 2011
Les Juifs du Ier siècle nourrissaient une réelle antipathie à l’égard des Samaritains, peuple qui vivait entre la Judée et la Galilée. Un jour, des adversaires juifs ont demandé d’un ton méprisant à Jésus: “N’avons-nous pas raison de dire: Tu es un Samaritain et tu as un démon?” (Jean 8:48). Si fort était le sentiment anti-samaritain que certains Juifs allaient jusqu’à maudire publiquement les Samaritains dans les synagogues et à prier quotidiennement pour que les Samaritains ne reçoivent pas la vie éternelle.
Sans doute est-ce cette haine fortement enracinée qui a poussé Jésus à énoncer la parabole du Samaritain. En prenant soin d’un Juif battu par des voleurs, cet homme s’est montré véritablement son prochain. Comment Jésus aurait-il pu répondre au Juif versé dans la Loi mosaïque qui lui demandait: “Et qui est mon prochain?” (Luc 10:29). Il aurait pu le faire directement, en disant: ‘Ton prochain, ce n’est pas seulement ton compagnon juif, mais aussi d’autres personnes, et même un Samaritain.’ Cependant, les Juifs auraient eu du mal à accepter cette idée. Aussi a-t-il énoncé une parabole parlant d’un Juif qui avait bénéficié de la miséricorde d’un Samaritain. Jésus a ainsi aidé ses auditeurs juifs à tirer cette conclusion: le véritable amour du prochain devait s’étendre aux non-Juifs.
Jésus n’avait rien contre les Samaritains. Un jour qu’il traversait la Samarie, il s’est reposé près d’un puits pendant que ses disciples allaient chercher de la nourriture à la ville voisine. Une Samaritaine s’étant approchée pour puiser de l’eau, il lui a dit: “Donne-moi à boire.” Comme les Juifs n’avaient pas de relations avec les Samaritains, elle lui a demandé: “Comment se fait-il que toi, qui es Juif, tu me demandes à boire, à moi qui suis une femme samaritaine?” Jésus lui a alors donné le témoignage, et lui a même dit ouvertement qu’il était le Messie. Aussitôt, elle s’en est allée à la ville et elle a appelé d’autres habitants pour qu’ils viennent l’entendre. En conséquence, “un bon nombre des Samaritains de cette ville eurent foi en lui”. Ce beau résultat a été obtenu parce que Jésus ne s’est pas laissé enfermer dans la mentalité qu’avaient les Juifs de son époque. — Jean 4:4-42.
Sans doute est-ce cette haine fortement enracinée qui a poussé Jésus à énoncer la parabole du Samaritain. En prenant soin d’un Juif battu par des voleurs, cet homme s’est montré véritablement son prochain. Comment Jésus aurait-il pu répondre au Juif versé dans la Loi mosaïque qui lui demandait: “Et qui est mon prochain?” (Luc 10:29). Il aurait pu le faire directement, en disant: ‘Ton prochain, ce n’est pas seulement ton compagnon juif, mais aussi d’autres personnes, et même un Samaritain.’ Cependant, les Juifs auraient eu du mal à accepter cette idée. Aussi a-t-il énoncé une parabole parlant d’un Juif qui avait bénéficié de la miséricorde d’un Samaritain. Jésus a ainsi aidé ses auditeurs juifs à tirer cette conclusion: le véritable amour du prochain devait s’étendre aux non-Juifs.
Jésus n’avait rien contre les Samaritains. Un jour qu’il traversait la Samarie, il s’est reposé près d’un puits pendant que ses disciples allaient chercher de la nourriture à la ville voisine. Une Samaritaine s’étant approchée pour puiser de l’eau, il lui a dit: “Donne-moi à boire.” Comme les Juifs n’avaient pas de relations avec les Samaritains, elle lui a demandé: “Comment se fait-il que toi, qui es Juif, tu me demandes à boire, à moi qui suis une femme samaritaine?” Jésus lui a alors donné le témoignage, et lui a même dit ouvertement qu’il était le Messie. Aussitôt, elle s’en est allée à la ville et elle a appelé d’autres habitants pour qu’ils viennent l’entendre. En conséquence, “un bon nombre des Samaritains de cette ville eurent foi en lui”. Ce beau résultat a été obtenu parce que Jésus ne s’est pas laissé enfermer dans la mentalité qu’avaient les Juifs de son époque. — Jean 4:4-42.
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